. Le lien Un nouveau née vient de passer 9 mois enveloppé des liquides maternel, de sa chaleur, du battement de son cœur, des sons de son corps, et beaucoup plus encore dans la perception intime de son vécu, de ses émotions et de ses états intérieurs ressentis par la variation des cocktails chimique absorbés par les vibrations reçues dans le liquide amniotique et sa qualité, que ce soit par sa bouche où les pores de son corps. Une séparation prolongée après la naissance deviens rapidement un drame qu’il faut éviter autant que possible, et qui, sinon, devra être traiter avec l’importance que mérite la violence inouïe d’un sentiment d’abandon immense de ce qui lui procure la vie et le protège de tout. Dans ce cas, il est important que le papa suive le bébé autant que ce peut, mettre auprès de lui des vêtements ou linges portant l’odeur de sa maman, voir lui faire entendre des enregistrements de la voix de sa maman. À l’âge adulte, ces séparations dépassant la journée tendent à mener à de puissantes tendances au manque d’estime de soi qui impose une distance à son entourage par son language corporel. Un interdit de se laisser aimer et une invitation du type « si tu m’aimes laisse moi ». Ce type de programmation peuvent aisément se défaire selon les methodes décrire dans le chapitre sur la santé.
. L’allaitement des premiers mois Il n’est pas forcément évident à la grande surprise de nombre de mamans. N’hésitez pas à apprendre les multiples postures possible d’allaitement pour détendre votre bébé et lui permettre de boire en toute détente. L’allaitement est bien sûr dicté à la demande du nourrisson combiné avec les tension des seins pleins de lait qui demande à se faire vider. Le nombre de tête à la demande peut être très erratiques et varier selon les états du nourrisson. Entre 3 et 4 mois, l’ominisation du crâne correspond à une croissance rapide des cervicales qui invagine la base du crâne et activé la glande pinéale et pituitaire contrôlant les cycles humains. L’enfance commence à à voir besoin d’alternance rythmé. Il devient alors important de laisser un plus grand espace entre les tétés jusqu’à déclencher une vrai faim et restaurer une demande claire de boire.
. Le sommeil Au début il peut être très variable et il se normalise en des périodes de 2 à 3 siestes le matin et 1 a 2 l’après-midi. Après 4 mois, dès que les besoins de cycles et de rythme commencent à se faire sentir, il est important d’éviter des trop longues siestes de plus de 2h30 l’apres-midi, afin d’obtenir un besoin de vrai sommeil profond entre 19 et 21h, pour permettre une nuit de sommeil de plus en plus complète. Cependant, lors du développement de certaines phases, où après un traitement, il se peut que votre bébé aye besoin de dormir plus de 12 à 15h en ligne. Ne vous inquiétez pas en autant que son rythme se régule dans les jours suivants. Il est important d’utiliser votre voix pour endormir votre bébé que ce doit avec des berceuses ou deux mots de tendresse et d’amour.
. La récupération et l’adaptation post-partum Votre corps vient de courir plusieurs marathons et il a besoin de soins adaptés. Certains peuples ont gardé la mémoire de cette sagesse de la nature et masse les mamans durant les 9 mois suivant la naissance pour se restaurer de l’effort immense et se ré-approprier son corps. Dans le même esprit, entreprendre des activités pour détendre, tonifier et détendre son corps sont d’une grande importance pour mieux aborder cette période fusionelle de l’allaitement où il faudra rester soi-même. La gestion du sommeil est capitale pour suivre le rythme intense des tétés et de l’attention quasi-permanenté! Dormir quand votre bébé dort est vital!
Selon les derniers chiffres (2015), seuls 19% des enfants reçoivent encore du lait maternel à 6 mois en France.C’est l’un des grands choix qu’un couple - et a fortiori, la femme - doit faire au cours de la grossesse: allaiter ou pas son enfant. En France, l’allaitement exclusif est préconisé au moins jusqu’à l’âge de 4 mois, et si possible jusqu’à 6 mois. Or seule une femme sur deux allaite un mois après la naissance et une sur quatre six mois plus tard, selon les données les plus récentes. Pourtant, «les recherches scientifiques prouvent l’indéniable supériorité de l’allaitement maternel», souligne un document commun du ministère de la Santé et de la Société française de pédiatrie. Les bénéfices de l’allaitement sont-ils si exceptionnels pour l’enfant? Pour la mère? Le Figaro a fait le point avec un pédiatre spécialiste de la question pour vous aider à faire un choix éclairé. Que contient le lait maternel? Ce n’est pas un élixir miracle, mais presque. Le lait maternel possède toutes les qualités nutritionnelles pour répondre totalement aux besoins du nourrisson. Il contient des protéines, des lipides, des glucides et des minéraux en quantité suffisante. On y trouve également de nombreux facteurs protecteurs contre les infections (immunoglobulines, cellules immunitaires...) ainsi que certaines substances aidant à la digestion et à l’absorption des nutriments. «La composition du lait maternel évolue constamment en fonction de l’âge de l’enfant et du moment de la tétée pour s’adapter à ses besoins», détaille le Pr Dominique Turck, pédiatre au CHU de Lille. «On peut parler d’alimentation à la carte, alors que la composition du lait artificiel ne change pas.» » LIRE AUSSI - Combien de temps allaite-t-on en France? Quelles différences avec le lait artificiel? Ce n’est pas la seule différence. D’abord, le lait maternel contient beaucoup moins de protéines que le lait industriel, mais cette quantité reste parfaitement adaptée aux besoins du nourrissons. En outre, celle-ci va encore diminuer au fur et à mesure des jours pour laisser place à davantage de lipides et de sucres. Ce n’est pas tout. «Le lait maternel contient des acides gras polyinsaturés à longue chaîne, qui jouent un rôle important dans le développement du cerveau et de la rétine, ainsi que des oligosaccharides, ces sucres qui participent à la prévention des infections», ajoute le Pr Turck. Selon le médecin, au moins une marque de lait industriel a mis sur le marché un produit enrichi en oligosaccharides mais selon lui, «il n’y a pas de certitude qu’ils aient la même action que ceux que l’on trouve dans le lait maternel.» Quels bénéfices pour l’enfant? «Il est certain qu’il vaut mieux nourrir son enfant au lait maternel qu’au lait artificiel, mais les bénéfices seront évidemment plus marqués dans les pays en difficulté économique, où les filières de soins ne sont pas efficaces», précise le Pr Turck. À l’heure actuelle, il existe un consensus scientifique pour dire que l’allaitement joue un rôle dans la prévention des infections. «Les études montrent que, quel que soit le niveau socio-économique de leur pays, les bébés allaités ont moins de risque de faire des diarrhées aiguës, des infections ORL et d’être hospitalisés pour des infections respiratoires dans leurs premiers mois», indique le pédiatre. Les autres bénéfices attribués à l’allaitement sont davantage discutés. «Pour établir un lien de cause à effet entre le lait maternel et des bénéfices pour la santé de l’enfant, il faudrait attribuer au hasard à un groupe de nourrissons l’un ou l’autre de ces modes d’alimentation, ce qui est évidemment impossible pour des raisons éthiques», détaille le médecin. En clair, il ne sera jamais possible d’obtenir des résultats indiscutables, ce qui explique la fréquence à laquelle paraissent des études aux résultats contradictoires. «On peut seulement parler d’association car les études dont nous disposons sont de faible niveau de preuve», insiste encore le Pr Turck. Pour l’heure, de nombreuses études concluent que l’allaitement a un rôle protecteur contre l’obésité. «On observe une diminution du risque de l’ordre de 10 à 15% pendant l’enfance et l’adolescence. Et plus l’allaitement est long, plus l’effet est marqué», indique le médecin. En revanche, il n’existe aucune preuve formelle que l’allaitement diminue le risque de diabète, de maladies cardiovasculaires et d’allergie, ni qu’il améliore le développement cognitif. Et pour la mère? Les femmes qui allaitent exclusivement jusqu’à l’âge de six mois en retirent également des bénéfices. L’allaitement précoce permet par exemple à l’utérus de retrouver sa forme normale plus rapidement (via la sécrétion d’une hormone, l’ocytocine) et elles préviennent hémorragies du post-partum et endométrites (infection de la muqueuse utérine). L’allaitement a également un impact sur la perte de poids puisqu’il augmente les dépenses énergétiques. Autre avantage: allaiter limite le retour de couche. Une sorte de contraception naturelle, qui porte le nom de «méthode de l’allaitement maternel et de l’aménorrhée» (MAMA). Toutefois, cette méthode contraceptive est loin d’être fiable à 100%, même si les règles sont absentes. Pour majorer son efficacité, il faut respecter un intervalle de 6 heures maximum entre chaque tétée, même la nuit. Cela assure que le taux de l’hormone prolactine reste élevé, ce qui empêche la reprise de l’activité ovarienne. Enfin, l’allaitement diminuerait le risque d’ostéoporose à la ménopause ainsi que le risque de développer un cancer du sein ou des ovaires. Mais là encore, il ne s’agit que d’association: le lien n’a pas été formellement prouvé.